Le palmarès du Salon des Beaux Arts 2017 : un rond-point d’émotions

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Approchez-vous de chaque œuvre apparemment muette, et percevez sa musique intérieure, chanson douce ou violente, paisible ou provocante, secrète ou accueillante. Certaines réalisations plus discrètes, désirent une écoute singulièrement attentive.

 

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Yo Coquelin, le goût de l’imaginaire

Médaillée d’Or de la section peinture du Salon 2016, Yo Coquelin sera de nouveau parmi nous cette année.

Résolument tournée vers l’une des époques les plus glorieuses de l’art, Yo Coquelin puise son inspiration et ses techniques picturales dans la Renaissance. Ils sont nombreux les éléments jonchant les toiles de ce peintre atypique. Ses œuvres sont à elles seules des mystères à résoudre. Empreintes de mythologie et de fantastique, c’est un bestiaire légendaire qui trouve sa place dans les toiles aux scènes surréalistes de l’artiste-peintre. Les êtres et les architectures sont métamorphosés pour créer des tableaux énigmatiques, au symbolisme exacerbé. Et nous voilà tout droit menés dans un conte de cape et d’épée.

 


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Shun Kawakami, du végétal au digital

shun kawakami’s artbook – artless • photo yuu kawakami

 

Fondateur du studio artless.inc, Shun Kawakami franchit les barrières qui opposent encore en occident l’art et le commerce. Ce graphiste, designer et dessinateur est partout, il décline ses œuvres à l’infini, sur toiles bien sûr mais aussi pour la télévision, ou encore la publicité.

L’artiste est cette année invité par le Salon et réalisera une projection de plus de 17 mètres lors de l’événement.

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Chute le long de la ligne d’Emma Kadraoui

 

 

Emma Kadraoui, sera présente au Carrousel du Louvre du 7 au 10 décembre. Cela fait déjà quelques années que le Salon des Beaux Arts plébiscite cette jeune artiste qui a reçu la médaille de bronze en peinture lors de l’édition 2015.

Tantôt drôle, politiquement incorrecte ou tantôt grave, Emma Kadraoui utilise la ligne de façon incisive, impossible de se détourner de ses visages aux yeux ouverts, aux regards fermés. L’introspection prend une place presque prépondérante chez Emma Kadraoui, les rues sont vides, l’esquisse finie. Elle nous montre tout de ses êtres à part, de l’être au paraître, si les yeux sont les fenêtres de l’âme c’est par eux que le vertige nous saisi. Quand la couleur est là, elle est cependant jaillissante, elle tient le propos et soutient le trait. C’est dans le subtil jeu du caché-montré que l’artiste nous dévoile qui est l’autre, celui que nous sommes.


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Il était une fois Pablo Castillo…

 

Des contes visuels, voilà ce que façonne Pablo Castillo dans l’argile de ses œuvres.

Ce sculpteur de la figuration nous raconte ses fables picaresques pleines d’atypiques personnages, allant avec facétie vivre leurs aventures en compagnie d’animaux anthropomorphes, ou non. Dans ces groupes et duos, le meilleur ami de l’homme est bien souvent un éléphant, un perroquet ou un ours chevauché.

Un univers teinté de couleurs, un monde des possibles qui touche à la part de rêve sommeillant en chacun de nous.


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Le jury invité du Salon 2017

Comme chaque année, un jury indépendant est invité à venir décerner des prix récompensant le travail des artistes exposant au Salon des Beaux Arts en attribuant des médailles d’or, d’argent et de bronze aux peintres, sculpteurs, graveurs, photographes et illustrateurs.

Cette année, 8 personnalités du monde des arts et de la culture nous ont fait l’amitié de répondre positivement à notre invitation.

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Un monde épuré, par Kyriakos Kaziras

White symphonie

 

Le photographe grec des terres sauvages Kyriakos Kaziras nous révélera la pureté de son univers lors du Salon des Beaux Arts 2017.

Kyriakos Kaziras capture dans son objectif le silence et la majesté d’une Nature où chaque instant semble éternel. Des cercles polaires aux terres solaires de l’Afrique le temps semble suspendu en un absolu artistique. La faune sauvage ainsi saisie nous livre un peu de son essence, dans les regards échangés avec le photographe, dans l’intime d’une majesté sans fioriture.

L’approche picturale de l’artiste nous fait traverser une géographie toute particulière, un monde ouvert et vierge de toute présence humaine qui révèle la grandeur des paysages mais aussi celle des animaux : éléphants, félins, ou encore ours polaires, autant d’êtres qui nous apparaissent encore comme des intangibles titans. Dans l’œil de Kaziras, le monde nous offre son émotion toute singulière car parée de ce qui nous touche, la vie. 


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